Ce projet vise à modifier les messages relatifs aux initiatives de développement durable afin de mettre davantage l’accent sur les résultats positifs et d’intégrer les idées des employé·e·s. Les objectifs sont d’inciter les employé·e·s à agir en faveur du développement durable et de réduire les frictions entre la réception d’informations et la mise en œuvre de pratiques durables. Les deux principaux obstacles sont le fait que de plus en plus d’employé·e·s travaillent à domicile et le fait qu’une grande quantité d’informations est déjà reçue. Malgré ces obstacles, il existe des moyens de faciliter la mise en œuvre du projet en le rendant accessible dans les bureaux par de l’affichage, en récompensant les employé·e·s qui soumettent des idées et en utilisant l’application Otto by Oxford que la direction du bâtiment utilise pour partager des informations sur le bâtiment.

Prochaines étapes: Valider l’hypothèse selon laquelle le renforcement positif d’éco gestes faciles à adopter entraînera des changements de comportement à long terme chez les employé·e·s, pour à terme améliorer la durabilité au bureau en installant une affiche dans le bureau (avec un code QR) et en mesurant le succès de l’adoption d’un éco geste en particulier (utilisation du papier/recyclage des piles). Si 10 % des personnes qui viennent au bureau téléchargent l’application via le code QR et si l’on constate que les utilisateurs·trices de l’enquête ont apporté des changements positifs dans leur vie quotidienne, le projet peut se poursuivre tel quel.

Son objectif est de créer une campagne de sensibilisation aux pratiques actuelles en matière de GMR afin d’augmenter le détournement des déchets en améliorant le tri des matières organiques et des plastiques par les employé·e·s. Les deux principaux obstacles à la mise en œuvre de ce projet seront de briser les habitudes des employé·e·s et de gérer le positionnement inconsistant des poubelles. L’équipe de direction et l’équipe de communication contribueront à la mise en place du projet, et des modèles et des champion·e·s viendront renforcer le travail de ces deux équipes.

Prochaines étapes : L’hypothèse à valider est qu’en sensibilisant les employé·e·s et en leur demandant de faire une pause avant de jeter leurs déchets, ils peuvent prendre une décision réfléchie/consciente lorsqu’ils se débarrassent de leurs déchets, ce qui réduirait la contamination et améliorerait les taux de détournement des déchets. Les poubelles seraient placées de manière consistante dans les bureaux, avec des affiches, des vidéos et des boutons demandant aux employé·e·s de s’ARRÊTER avant de jeter leurs déchets, et un·e champion·ne prendrait des photos des poubelles chaque jour. Un audit sera réalisé avant et après la campagne pour vérifier si la contamination est moindre et valider l’hypothèse.

Ce projet est un concours visant à réduire la consommation d’énergie et de carbone pour atteindre les objectifs de développement durable n° 13 et n° 17 de l’organisation des Nations unies. Les participant·e·s recevront des informations et prendront des mesures d’économie d’énergie pendant plusieurs semaines, avec l’incitation pour celleux qui économiseront le plus de faire un don à une organisation caritative de leur choix. Comme pour la Campagne de sensibilisation à la GMR, l’un des principaux obstacles sera de lutter contre les pratiques et habitudes existantes. Un autre obstacle sera l’accès aux ressources de l’équipe, aux données et aux engagements de travail continus pour atteindre l’objectif du projet. Les facilitateurs de la mise en œuvre du projet seront les parties prenantes impliquées : l’équipe d’innovation sociale, les gestionnaires du bâtiment, l’équipe de communication, l’équipe de l’organisation caritative et l’organisation des Nations unies au Canada.

Prochaines étapes : Il convient de valider l’impact durable de l’EcoHack énergétique de l’ONU, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du bureau. Réaliser des enquêtes après l’événement et relever les données pour évaluer les économies faites et les comportements permettront de mesurer l’impact. Si les pratiques développées au cours de la campagne se maintiennent dans une fourchette de 50 à 75 % et si la consommation d’énergie reste stable ou comparable, la campagne aura alors réussi.

Ce programme est considéré comme une amélioration et une extension du programme existant de vaisselle réutilisable et peut être élargi au reste des bureaux. Son objectif est d’éliminer les articles à usage unique des espaces de cuisine et de promouvoir l’utilisation de produits réutilisables de manière plus générale. Les principaux obstacles sont d’une nature différente pour ce projet et concernent le coût (payer quelqu’un pour nettoyer la vaisselle réutilisable), la conformité (ramener la vaisselle utilisée à l’endroit approprié/éviter de la garder à son bureau) et la responsabilité (s’assurer que la vaisselle reste dans le bureau). Le succès du programme repose sur l’amélioration de l’affichage, la facilité d’utilisation des produits et des mises à jour régulières par le biais de communications à l’échelle du bureau.

Prochaines étapes : L’hypothèse à tester est la suivante : « Si nous supprimons la possibilité d’utiliser des articles à usage unique, les gens devront utiliser efficacement la vaisselle réutilisable dans les cuisines ». La suppression des articles à usage unique et l’évaluation de l’attitude et de l’adoption des gens permettront de valider l’hypothèse avant d’élargir les options de vaisselle réutilisable.

L’objectif de ce projet est de sensibiliser à l’impact environnemental des marchandises de marque et de changer l’état d’esprit à leur égard. L’obstacle principal est la culture d’entreprise qui s’appuie sur ces marchandises pour promouvoir les marques et qui, à son tour, crée l’attente chez les employé·e·s qu’ils recevront des marchandises. La sensibilisation à l’impact de ces marchandises non utilisées sera un outil puissant pour assurer la mise en œuvre du projet ainsi que la planification stratégique des achats, les directeurs·trices d’équipe pour pallier la résistance au changement de comportement et les analyses coûts/bénéfices.

Prochaines étapes : Ce projet repose sur l’idée que la réduction des marchandises de marque lors d’événements ne nuira pas à la marque, mais lui sera bénéfique. Pour tester cette hypothèse, des données seront recueillies afin de comprendre les habitudes des gens à l’égard de ces marchandises et d’ajouter une option d’acceptation/de refus d’en recevoir sur les pages d’inscription aux événements. Le test sera considéré comme réussi si l’on constate une réduction d’environ 30 % du nombre de personnes souhaitant recevoir ces marchandises.

L’objectif de ce programme est de promouvoir la réutilisation du mobilier et des matériaux pour la fabrication de mobilier et d’équipements de bureau. Les principaux obstacles à la mise en œuvre du projet sont la résistance active à l’utilisation de produits de seconde main et le statu quo dans les processus et procédures d’approvisionnement. Le partenariat avec des organisations et la collaboration avec des fournisseurs et des entreprises qui ont des programmes similaires seront des étapes clés pour permettre la mise en œuvre du programme.

Prochaines étapes : L’hypothèse à tester pour ce projet est que l’entreprise VEUT participer à un programme de bureau à économie circulaire. Une enquête et un projet pilote seront réalisés, et le projet pourrait être mis en œuvre tel quel si les résultats de l’enquête sont positifs et si le projet pilote est une réussite.